GÉNÉRATION ALPHA
• Ultra familiarité avec le numérique, car ils grandissent dans un monde d’écrans, d’IA et d’interfaces qui ne leur demandent aucun apprentissage particulier
• Attente forte de sens, avec une vraie sensibilité écologique et sociale qui influence déjà leurs choix futurs
• Besoin d’autonomie et de flexibilité, car ils voient le travail comme un cadre à adapter à leur rythme et pas l’inverse
• Esprit entrepreneurial très présent, avec une envie de créer leurs propres projets plutôt que de s’inscrire dans un schéma hiérarchique classique
• Rapport très direct à la diversité culturelle et à l’inclusion, qu’ils perçoivent comme quelque chose d’évident et non comme une politique à construire
La Génération Alpha regroupe celles et ceux nés entre 2010 et 2024,
Même si certains chercheurs poussent légèrement cette limite jusqu’à 2025 selon les critères retenus. Ce qui frappe quand on les observe, c’est que la technologie ne représente pas un univers extérieur qui demande une initiation, mais plutôt le décor naturel dans lequel ils évoluent. Ils apprennent, se socialisent, se divertissent et parfois même s’apaisent à travers des outils numériques qui les accompagnent depuis l’enfance. Cela façonne une manière d’interagir plus rapide, plus fluide, parfois plus discontinue aussi, mais surtout plus intuitive. Leur pensée est connectée en permanence à un flux d’informations qui ne les impressionne pas mais qui peut les surcharger, ce qui annonce un rapport au travail où l’environnement et le rythme auront un rôle décisif dans leur bien être futur.
On voit aussi se dessiner une génération qui associe étroitement son avenir professionnel à une forme de cohérence morale. Ils ont grandi dans un monde où l’urgence climatique, les tensions sociales ou encore les questions d’inclusion sont présentes dès l’école primaire. Ils intègrent tout cela comme une évidence. Ils n’imagineront pas travailler pour une organisation qui ignore ces sujets. C’est une génération qui ne cherche pas seulement des entreprises avec une stratégie claire, mais avec une intention sincère, presque palpable. Cela ne veut pas dire qu’ils chercheront tous à changer le monde, mais plutôt qu’ils refuseront instinctivement de contribuer à quelque chose qu’ils jugent inutile, nocif ou opaque.
Dans cette logique, une structure comme Apeiro.fr aurait un rôle particulièrement intéressant à jouer. Une agence de communication qui fait de l’agilité, de l’innovation et de la créativité son terrain naturel correspond plutôt bien à ce que la Génération Alpha attend de son environnement futur. Ils auront besoin d’espaces où ils peuvent tester, apprendre, échouer, rebondir et recommencer sans être écrasés par la hiérarchie ou la rigidité. Ils chercheront aussi une atmosphère de collaboration authentique où la parole circule, où les idées se croisent et où chacun peut apporter quelque chose même sans avoir 20 ans d’expérience. Un modèle d’agence “in house” comme celui qu’Apeiro défend peut parfaitement leur parler, surtout si l’équipe valorise la transparence, la responsabilité, l’écoute et une vraie dimension humaine dans le travail.
On peut également prévoir une génération bien plus tentée par l’indépendance et les parcours éclatés. Beaucoup commenceront tôt des activités annexes, des projets créatifs, du freelancing, voire de petites startups étudiantes. Le travail sera moins une ligne droite qu’une série de modules qu’ils assembleront selon leurs envies du moment. Ils se sentiront libres de changer d’orientation, de se former en continu, d’expérimenter plusieurs métiers dans une même vie. Cette fluidité, qui peut déstabiliser des modèles anciens, deviendra une norme qu’il faudra apprendre à intégrer.
Ce qui est fascinant d’un point de vue sociologique, c’est leur rapport à l’apprentissage. Il n’est plus vertical et figé, mais circulaire, interactif, permanent. Ils n’attendront plus d’une entreprise qu’elle leur offre un cadre stable pour 20ans, mais qu’elle leur permette d’évoluer, de se transformer, d’élargir leurs compétences. On devra leur proposer quelque chose qui ressemble plus à un écosystème qu’à une carrière. Cela implique des organisations capables de muter, d’offrir des projets variés, et surtout de laisser de la place à ceux qui veulent apporter leurs propres idées.
Ce qui revient le plus quand on observe la Génération Alpha, c’est ce besoin presque viscéral d’être prise au sérieux, même très jeune.
Ils veulent comprendre ce qu’ils font, pourquoi ils le font, et comment cela s’inscrit dans un ensemble plus large. Ils ne veulent pas qu’on les traite comme une main d’œuvre à former, mais comme des individus capables de penser et de contribuer, même s’ils n’ont pas l’expérience des générations précédentes.
Le conseil Apeiro : Donner à cette génération un espace d’expression et une forme de confiance initiale qui, pour eux, sera l’un des critères ultimes d’engagement.
